L’oeil touche à tout si on le laisse ouvert, en passant, sans en avoir l’air. C’est son ballet qui réveille les couleurs et les formes, étrillant la logique de la perception ordinaire. La photographie bloque et suspend cette petite magie ici ou là. Rencontres de reflets et de gens qui finissent par se confondre dans un bal de valses lentes où il ne faudrait jamais sourire ?