Le Fabricauteur avait déjà souligné cette affaire assez minable il y a quelques mois et des informations complémentaire peuvent intéresser les lecteurs du site du Marchand d’histoires. Je vous les adresse bien volontiers
Suite à un texte daté du 24 mai 2019 , intitulé « Les sanctions pleuvent à Paris VII » et dans lequel sont mentionnés les noms de plusieurs enseignants-chercheurs de l’Université de Paris VII-Diderot, six d’entre eux ont décidé de saisir le Doyen des juges d’instruction en vue d’une plainte pour diffamation contre X, avec constitution de partie civile.
Dans le texte incriminé et non signé, et en référence à l’enquête de l’Inspection générale de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche (IGAENR) , on trouve notamment cette phrase à propos de l’Université de Paris VII : « Bien sûr cela fait des remous, bien au-delà d’une université patriarcale dont le fonctionnement mérite d’être remis en question. Il n’est plus possible de s’abriter sous le parapluie de la psychanalyse pour ces dysfonctionnements. C’est un affrontement qui traverse toute la société, avec au premier rang, les tenants de l’ordre ancien »
Ci-dessous le communiqué rendu public par les six enseignants-chercheurs et qui circule sur plusieurs réseaux.
COMMUNIQUÉ D’ENSEIGNANTS-CHERCHEURS DU CRPMS
(Université Paris Diderot)
Thamy Ayouch, Isée Bernateau, Yorgos Dimitriadis, Olivier Douville, Thierry Lamote, Laurie Laufer, enseignants-chercheurs à l’université Paris Diderot, ont pris connaissance d’un texte intitulé « Les sanctions pleuvent à Paris VII » diffusé de manière anonyme à large échelle via une fausse agence de presse INFONEWS090809 et publié sur les comptes publics Facebook de Marina Kousouri, Gérard Pommier et Clotilde Roux.
Ce texte vise à salir leur réputation en leur imputant des manquements à leurs obligations professionnelles et déontologiques parfaitement infondés et calomnieux.
Ils ont décidé de saisir le Doyen des Juges d’instruction près le Tribunal de grande instance de Paris d’une plainte avec constitution de partie civile des chefs de diffamation et injure publiques envers un fonctionnaire.
Ces éléments peuvent être rapprochés de la campagne de déstabilisation concernant Fethi Benslama déjà présentée sur ce site. cf 3 articles 8 et 9 avril 2019
Et comme toujours, renseignez vous, croisez les sources et les infos et gare aux évidences de premier plan? Comme les images, les mots rutilent et les phrases séduisent, ou pas. Les alouettes ne sont jamais loin. soyons toujours vigilant-e-s
5 juillet 2019 | Filed under Actualité, coup de colère un peu, Débrouillez vous avec, escroquerie sociale, Points de vue and tagged with ACTUALITE, Contribution amicale, dérives, Fethi BENSLAMA, HUMEUR, PROCES, PSYCHANALYSE, tristesses.
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